Retrouvez le discours d’Emmanuel Macron aux Assises de la finance participative qui se tenaient mardi 29 mars au ministère de l’Economie à Paris.
Crowdfunding : Emmanuel Macron annonce du changement
Crowdfunding : Emmanuel Macron annonce du changement. Aujourd’hui, mardi 29 mars 2016, le ministre de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique a annoncé quelques évolutions dans le monde du crowdfunding lors des Assises de la finance participative qui se tenaient à Bercy.
Les Assises de la finance participative se sont tenues aujourd’hui au ministère de l’économie, à Paris. C’était l’occasion pour les curieux et pour les acteurs du secteur de se rencontrer de discuter de l’avenir.
Cette journée a aussi été l’occasion de soulever un point important : il est primordial de faire évoluer l’idée que les Français ont de l’investissement. Et si nous passions du plan d’épargne au plan d’investissement, de l’épargne retraite à l’ investissement retraite? Car l’un des freins qui existe aujourd’hui dans notre économie est bel et bien ce manque de culture du risque que l’on constate dans notre pays.
Après quelques tours de table, au cours desquels on a pu réfléchir aux perspectives qui s’offrent à la Fintech en général et en particulier au crowdfunding, est arrivé le moment de l’intervention du ministre préféré des Français (il n’est pas le vôtre, ah bon?) : Emmanuel Macron.
Pour la finance participative française le changement est toujours… maintenant.
Le ministre a annoncé les changements et évolutions suivants :
- les entreprises pourront emprunter jusqu’à 2,5 millions d’euros au lieu du million maximum actuellement en vigueur
- la création de mini-bons de caisse, c’est-à-dire une forme d’émission obligataire simplifiée ouverte aux SARL.
- les particuliers prêtant aux entreprises, via les plateformes de financement participatif comme Prexem, pourront prêter jusqu’à 2 000 euros par projet.
L’idée derrière tout cela n’est pas de faire dans la mesurette, mais de permettre l’essor de champions français dans le secteur. Il ne faut plus craindre l’innovation. Nous autres Français, nous la subissons trop souvent. Il faut aller de l’avant, essayer des choses nouvelles, tester des idées innovantes et encourager celles et ceux qui s’y essaient. Ce n’est que comme cela que la France prendra la place qu’elle mérite dans cette économie nouvelle, véritable clef pour l’avenir.
Alors essayons et qui sait, l’essai transformé sera tricolore…
Banques, Digital et Fintech : Prexem en conférence
Prexem était invité mercredi 15 mars à parler Fintech et digital dans le secteur de la banque à la conférence Banques, Digital et Fintech organisée par CCM Benchmark (groupe Le Figaro) à Paris.
Ce genre de manifestation, comme cette conférence Banques, Digital et Fintech, est l’occasion pour les acteurs du secteur de sortir de leurs bureaux et de réfléchir pendant une journée à l’avenir.
Le grand débat qui agite actuellement les esprits est la relation parfois considérée comme tumultueuse entre les banques et les Fintech. La banque regarderait la Fintech avec l’œil du vieux singe qui ne voudrait qu’on lui apprenne à faire la grimace… C’est plus compliqué que cela.
La grande idée de cette journée de travail et d’étude était que la Fintech obligerait la banque à considérer à nouveau ses clients.Vous avez bien lu : à considérer à nouveau ses clients ! Bref à faire son métier?
Prexem à table !
Valéry Giard, cofondateur et président de Prexem intervenait sur le sujet du BtoB et plus particulièrement sur la gestion de trésorerie, échange de devises en peer-to-peer, financement en capital, crédit, conseil… Les services à destination des entreprises se renouvellent à vive allure sous l’impulsion de nouveau acteurs. Quels bénéfices en tirent les grandes entreprises, ETI et PME ? ».
Valéry Giard était invité à discuter de l’apport des Fintech au service des entreprises en compagnie de Cédric Teissier de Finexkap, Philippe Gélis de Kantox et Benoit Bazzocchi de SmartAngels.
Si aujourd’hui les Fintech permettent aux entreprises d’accélérer, en se finançant notamment grâce au financement participatif, il n’en demeure pas moins que les acteurs de la Fintech ont un gros travail d’évangélisation. En effet, les services digitaux BtoB, à savoir destinés aux entreprises (les « B » sont pour « business ») sont encore à leur débuts et il est important de rassurer les dirigeants de PME. Oui, la Fintech peut permettre à moult entreprises d’aller de l’avant, de se développer, encore faut-il que les entrepreneurs soient au courant de ces innovations !
Dites-donc, votre banquier ne vous cacherait-il pas notre existence?
L’arrivée des Fintech sur le marché a eu aussi le mérite de pousser les banques à se soucier à nouveau de leurs clients, en un mot de se concentrer sur leur métier. En effet, le cœur des Fintech est la relation client. Ces jeunes pousses du secteur ont déjà réussi à remettre cette relation sur le devant de la scène, d’où elle n’aurait jamais dû partir… Une première et belle victoire pour toutes les Fintech de France et de Navarre? Sans nul doute…
Sélection des dossiers en financement participatif
Avant d’être présentés sur la plateforme de crowdfunding, les dossiers font l’objet d’une rigoureuse sélection. Chez Prexem, on ne badine pas avec les projets et avec votre épargne… Comment se passe la sélection des dossiers en financement participatif?
L’emprunteur, au moment de l’inscription sur notre site, doit renseigner quelques champs, à savoir : le SIREN de la société (numéro d’immatriculation), la liasse fiscale, le montant demandé, la durée souhaitée…
Une fois inscrit, l’information remonte jusqu’au service crédit de Prexem. Celui-ci détermine, au vue des éléments, l’éligibilité de l’entreprise et de son projet. Les principales données vérifiées par les analystes sont les suivantes :
- L’ancienneté de la société. Pour être financée sur Prexem, la société doit posséder au moins une liasse fiscale.
- La forme juridique de la société. L’emprunteur doit avoir un statut de personne morale (SARL, SAS, SA…). C’est pourquoi les entreprises individuelles ne peuvent pas se financer sur la plateforme Prexem.
- Le chiffre d’affaires. Il doit être supérieur à 100 000 euros.
- Les capitaux propres. Ils doivent être positifs.
- Le Résultat d’Exploitation (REX). Il doit être positif, c’est-à-dire que l’activité propre de l’entreprise doit être rentable.
Si la société répond à ces critères, elle est considérée comme éligible à être présentée sur Prexem.
Ce n’est qu’à partir de ce moment que débute l’analyse financière de la société. Elle se décompose en 3 filtres distincts.
Le 1er filtre consiste à se rapprocher d’Altarès, partenaire de Prexem. Cette société est un acteur majeur du secteur de l’information sur les entreprises. Elle a étudié près de 7,7 millions de sociétés françaises afin de déterminer le score (note) de chacune. Prexem s’appuie sur ces analyses pour la validation des dossiers.
Le 2ème filtre est algorithmique. Prexem, en partenariat avec l’École polytechnique, a créé un algorithme capable de déterminer la probabilité de défaut de la société. La probabilité de défaut permet de calculer le taux d’intérêts auquel la société emprunte en cas de validation du dossier.
Le dernier filtre est celui de l’analyse financière humaine. Les analystes crédit s’emparent des dossiers et les étudient. Ils sont également en relation permanente avec les dirigeants. L’objectif des analystes est de vérifier la bonne santé financière des entreprises et sa capacité à rembourser l’emprunt demandé. Ce processus prend fin avec la présentation du dossier au comité de crédit qui donne, ou non, son accord aux sociétés pour effectuer leur levée de fonds sur Prexem.
Autre vérification qui vient en supplément de l’analyse du dossier est le contrôle FIBEN (Fichier Bancaire des Entreprises). Avec ce fichier, la Banque de France fournit des éléments d’appréciation de la capacité des entreprises à honorer leurs engagements financiers, à un horizon de trois ans. (FCC, FICP et contrôle FIBEN dirigeant).
Depuis sa création, Prexem a reçu pour plus de 46 millions d’euros de demande de financement des TPE-PME françaises. Au terme du processus de sélection, à peine plus de 1% de la demande totale a été retenu.
Fiscalité : quid pour vos intérêts ?
La fiscalité qui s’applique aux prêts en financement participatif (crowdlending) dépend de votre situation personnelle.
Fiscalité : vous n’allez pas y échapper, comme tous les ans vous allez devoir déclarer vos revenus, dont ceux du capital. Les intérêts que vous avez perçus de vos placements en financement participatif doivent être déclarés… Mais qu’en est-il vraiment?
La fiscalité qui s’applique aux intérêts perçus sur Prexem se renseigne dans la rubrique « 2 Revenus des Valeurs et Capitaux Mobiliers » de votre déclaration fiscale 2042 (voir image ci-dessous).
En premier lieu, vérifiez votre situation personnelle en terme de fiscalité :
Cas 1 : Prêteur ayant perçu moins de 2 000 euros d’intérêts bruts sur ce type de placement, et optant pour le prélèvement libératoire.
– Vous avez perçu moins de 2 000 euros d’intérêts bruts sur l’année sur produits de placement à revenu fixe (crowdlending, obligations, titres de créances etc)
– Vous avez été prélevé d’un acompte sur l’impôt de 24% automatiquement et vous souhaitez bénéficier du régime libératoire. Dans ce cas, la fiscalité appliquée à vos intérêts sera de 24% au lieu de votre taux marginal d’imposition. Il est à noter qu’en 2016, dès la seconde tranche le taux appliqué est de 30%, cela peut donc être intéressant.
Dans ce cas il vous faut reporter le montant de vos intérêts bruts ci-dessus en lignes 2FA et 2CG
Cas 2 : Prêteur ayant perçu plus de 2 000 euros d’intérêts bruts sur ce type de placement durant l’année fiscale en cours.
– Vous avez perçu plus de 2 000 euros d’intérêts bruts sur l’année sur produits de placement à revenu fixe (crowdlending, obligations, titres de créances etc)
– Vous avez été prélevé d’un acompte sur l’impôt de 24% automatiquement
Dans ce cas il vous faut reporter le montant de vos intérêts bruts ci-dessus en lignes 2TR et 2BH
Cas 3 : Prêteur ayant bénéficié du régime de dispense d’acompte sur l’impôt.
Vous avez souhaité bénéficier du régime de dispense d’acompte sur l’impôt : Suivant votre choix, le montant de vos intérêts bruts doit être reporté en 2TR (votre taux marginal d’imposition s’appliquera) ou en 2FA (le prélèvement libératoire à 24% s’appliquera).
Hormis le cas des dispensés pour lesquels le montant ne doit pas être reporté, nous vous invitons à vérifier que la case 2CK soit correctement pré-remplie (crédit d’impôt, égal au prélèvement forfaitaire non libératoire effectué en 2015). Le montant correspond à 24% des intérêts bruts perçus.
Note: Imputation des pertes en capital lors du défaut d’un emprunteur
Depuis le 1er janvier 2016 sur Prexem en vertu de l’amendement 718 article 13, en cas de défaut d’un emprunteur, les pertes éventuelles en capital peuvent être déduites du montant imposable des intérêts perçus dans le cadre d’autres prêts consentis dans les mêmes conditions, donc d’autres prêts octroyés via le financement participatif. En pratique un certificat d’irrécouvrabilité concernant le prêt est délivré par un professionnel habilité par l’Etat (mandataire judiciaire, société spécialisée de recouvrement, avocat, huissier, assureur-crédit…). Prexem mettra à votre disposition ce document le cas échéant.
La loi de finances rectificative pour 2015 permet cette déduction qui sera possible pour les revenus de l’année au cours de laquelle la créance est devenue irrécouvrable, ou, par report, lors des 5 années suivantes.
Intérêts : une question de calcul…
Cas typique d’un prêt amortissable avec des intérêts à taux fixé par la plateforme Prexem
Intérêts : la première chose à garder en tête concernant les calculs d’intérêts est que les taux présentés sur les projets Prexem sont des taux annuels, ce n’est donc pas plus intéressant de prêter sur les projets à court terme en ce qui concerne le taux et les intérêts.
En tant que prêteur chez Prexem et dans le cadre d’un prêt amortissable en général, vous récupérez tous les mois une partie de votre capital (1/24 sur 24 mois pour simplifier) ainsi que les intérêts.
Les intérêts eux sont calculés sur le capital restant dû. Comme chaque mois une partie du capital vous est restitué, le montant des intérêts décline au fur et à mesure des mensualités (ils sont maximum lors du premier remboursement, sur la base de 100% du capital, puis déclinent chaque mois dès lors que le capital retourne au prêteur).
Prenons un exemple concret d’un prêt de 1 000 euros sur un projet ayant un taux de 8% par an sur une durée de 24 mois,ce qui fut le cas du projet « Sans Sucre et Sans Gluten ». Comme une partie de vos 1 000 euros revient chaque mois sur votre compte Prexem, il n’y a, en moyenne, sur les 24 mois complets que 535.74 euros sur les 1 000 euros prêtés qui « travaillent ». Ces 535,74 euros représente la moyenne du capital restant dû sur la période de 24 mois. Sur l’ensemble des 24 mois, les 535,74 euros devront vous rapporter au total 85.72 euros d’intérêts bruts (voir dans le tableau ci-dessous).
Cela fait un taux de 16% (85.72 euros/ 535.74 euros) sur 2 ans, soit bien 8% par an.
Afin de toucher 160 euros d’intérêts bruts, ce qui correspondrait à un taux annuel de 8% par an, 80 euros durant la 1ère année et 80 durant la 2ème année, il faudrait réinvestir le capital qui revient chaque mois sur votre compte Prexem sur d’autre projets qui, s’ils avaient tous un taux de 8% par an, rapporteraient exactement 160 euros d’intérêts bruts (hors considération de difficultés d remboursement).
Fintech? Vous avez dit Fintech?
Ne le cherchez pas dans le dictionnaire Larousse et encore moins dans celui de l’Académie française, le mot Fintech n’y est pas et pourtant déjà partout dans votre vie. Du moins c’est sans doute le cas si vous lisez ces mots (avec attention, n’est-ce pas…).
Une Fintech est une jeune entreprise dont le cœur d’activité mêle finance et technologie, en bref, c’est de la finance revue et corrigée grâce au numérique. Et c’est vrai que les métiers de la finance en particulier ceux de la banque en avaient besoin !
La Fintech est bien plus qu’un secteur économique, une nébuleuse, c’est une famille !
Il est vrai que depuis quelques temps, voire quelques années si l’on parle de la Fintech américaine, le nombre d’acteurs peut donner le tournis, mais à y regarder de plus près, on peut aisément classer les plus ou moins jeunes pousses du secteur par sous-groupes.
La Fintech se divise et se complète entre d’une part ce que l’on appelle le lending ou le prêt, catégorie à laquelle Prexem appartient, l’ « equity » ou la prise de participation dans une entreprise sous forme d’actions comme Anaxago en France ou encore les solutions de paiement Paypal. Certaines start up propose du conseil en investissement sous forme de « robot advisers », comme le français Marie Quantier, qui vous permet de gérer directement votre patrimoine financier.
Bref, vous l’aurez compris, la Fintech est pléthore et ne saurait rentrer dans une case en particulier. Prenez n’importe quel solution bancaire ou de gestion de patrimoine, de paiement et vous trouverez sans nul doute une start-up se proposant de révolutionner ce volet, cette petite brique faisant partie d’un tout : celui de la finance.
La Fintech américaine

Le monde de la Fintech américaine en un coup d’œil
Les Américains ont une longueur d’avance sur le reste du monde et des acteurs du prêt (crowdlending) comme Lending Club qui déjà prêté pour plus de 15 milliards de dollars. Cela nous donne une idée de la taille du marché auquel Prexem s’adresse…
La Fintech française
La Fintech est France est déjà une grande famille. Le secteur est encore très jeune, les « anciens », les « vétérans » ont environ… 5 ans. Autant dire un âge canonique dans notre monde. Mais que de choses accomplies et surtout que de belles choses en perspective !
Aux Etats-Unis la Fintech a attiré près de 10 milliards de dollars d’investissement en 2014 (source étude Accenture, 2015) ce qui en fait l’écosystème le plus dynamique à ce jour.
Alors la Fintech : secteur du futur ? L’avenir nous le dira…
Un fonds de protection au service de votre épargne !
Nous sommes fiers d’être la première plateforme de financement participatif à proposer à votre épargne une protection. Mais au fait, pourquoi une protection ?
Dans le monde du crowdlending, ou du financement participatif par prêt en bon français, le risque est porté par le prêteur. En d’autre terme en cas de défaut de l’emprunteur, le prêteur est l’acteur qui perd le plus dans cette relation. Chez Prexem, nous pensons que chaque prêteur a droit à une protection pour son épargne. C’est normal non ?
Comment ça marche ?
Le fonds de protection Prexem permet de rembourser jusqu’à 100% du capital restant dû en cas de défaut éventuel de l’emprunteur.
Tous les emprunteurs alimentent ce fonds de protection qui est sur un compte séquestre à la banque BNP Paribas. Ce fonds est débloqué en cas de défaut dans un délai de 60 jours au moment de la constatation du défaut.
Pour chaque projet, les analystes Prexem déterminent le montant de protection dédié au projet présenté.
Une couverture qui évolue dans le temps
Le montant de protection alloué à un projet est constant dans le temps. Le prêt étant amortissable, le pourcentage du capital couvert par la protection augmente mécaniquement chaque mois.
Exemple concret:
Un prêt de 50 000 euros sur 24 mois avec un montant de protection de 13 889 euros, le capital couvert par le fonds en cas de défaut est 27,8% le premier mois, cette couverture augmente à mesure que l’emprunteur rembourse, au quatorzième mois du prêt, les sommes encore dues sont couvertes à 60% et à plus de 90% le dix-huitième mois par le fonds de protection Prexem.
Voici le tableau des mensualités d’un particulier prêtant 300 euros à 6,8% à ce projet :
Avec Prexem, Réinventons vraiment le financement !
Baromètre du crowdfunding en 2015
En France, le crowdfunding ou plutôt le financement participatif est encore une activité récente même si pour beaucoup d’entre vous il fait désormais parti du paysage. Le début d’année est l’occasion de dessiner le baromètre du crowdfunding en 2015.
Selon le baromètre établi par l’association Financement Participatif France en partenariat avec Compinnov, le financement participatif (tous types confondus) a plus que doublé en France en 2015.
La croissance la plus impressionnante concerne les plateformes de prêt dont les volumes passent de 88,4 millions en 2014 à 196,3 millions d’euros en 2015, soit 122% de croissance. Cet essor est notamment le fruit de la réglementation spécifique mise en place fin 2014 et permettant l’accès au prêt rémunéré pour les particuliers.
Les entreprises qui se financent sous forme de prêt sont essentiellement des commerces et services de proximité (pour près de 12 millions d’euros) ; quant au financement en obligations, il concerne à 84% le secteur immobilier. La collecte via les 14 plateformes d’investissement a été multipliée par deux, passant de 25,4 millions en 2014 à 50,3 millions d’euros en 2015. Là aussi, le cadre législatif a créé un environnement plus favorable au développement des plateformes. Les projets sont très variés : promoteurs immobiliers, santé et recherche, environnement et énergie, services, etc.
Côté don, 50,2 millions d’euros ont été collectés auprès de 25 plateformes en 2015 contre 38,2 millions en 2014. Ce segment reste le moteur majeur de la découverte du financement participatif par le grand public, puisque les plateformes de ce domaine rassemblent plus de 80% du nombre des financeurs en 2015. 2,3 millions de Français – un million de plus qu’en 2014 – ont financé un projet en crowdfunding depuis le lancement des plateformes, témoignant d’une adhésion croissante du grand public à cette nouvelle forme de financement. Ils ont ainsi permis le financement de près de 18 000 projets en 2015.
Prexem upgrade le crowdfunding avec son fonds de protection
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